Participez vite au SMART MEDIA ACCELERATOR 2024 !
Deadline : 30 avril 2024 !
Votre start-up média est-elle taillée pour le succès ?
L’incubateur MEDIA LOVES TECH vous aide à le savoir !
MEDIA LOVES TECH cherche à identifier les meilleur.e.s idées et concepts numériques pour un journalisme innovant et de qualité.
Lancé par DW Akademie, le centre de la Deutsche Welle pour le développement international des médias, la formation journalistique et le transfert de connaissances, MEDIA LOVES TECH est une compétition ouverte aux journalistes, entrepreneurs start-ups, chefs de projet, esprits créatifs, développeurs, designers, acteurs de la société civile et à toute autre personne ou organisation qui souhaite, par le biais de l’innovation – améliorer les médias en Tunisie, au Maroc et en Algérie.
La meilleure idée d’innovation en matière de journalisme numérique en Tunisie, au Maroc et en Algérie recevra 10 000 €.
Les étapes de la compétition
Objectif de la compétition
L’objectif de MEDIA LOVES TECH est d’identifier et de faciliter la mise en œuvre de solutions efficaces pour relever les défis et les problèmes auxquels sont confrontés les médias et le journalisme en Tunisie, au Maroc et en Algérie.
MEDIA LOVES TECH exploite le pouvoir du crowdsourcing, qui consiste à faire collaborer les internautes pour trouver ensemble des idées, des services ou des contenus. En termes simples, le crowdsourcing consiste à faire travailler la foule ensemble pour partager des informations, ce qui favorise les idées et la créativité.
MEDIA LOVES TECH vous offre la possibilité de plonger dans le monde de l’entrepreneuriat média, de tester vos idées et de vous préparer à les lancer sur le marché.
Les projets recherchés
MEDIA LOVES TECH recherche :
- des solutions pour améliorer l’accès à l’information ;
- des outils pour optimiser le travail des journalistes et des médias (traitement des données/organisation/visualisation) ;
- des idées pour améliorer l’interaction des médias avec le public (tracking, mesure d’audience, engagement, feedbacks) ;
- des approches créatives des nouveaux formats d’information ;
- cette liste n’est pas exhaustive et les propositions inventives sont les bienvenues !
Journalisme scientifique
Des solutions qui permettent aux journalistes d’améliorer la couverture de l’actualité scientifique, de faciliter sa vulgarisation et d’assurer une diffusion efficace auprès du grand public.
Journalisme citoyen :
Des outils qui permettent d’atteindre des publics spécifiques (par ex. : des communautés locales) et de mettre en relation les journalistes citoyens et les médias. L’objectif est d’accroître les capacités de production et de consommation pour atteindre de nouveaux publics.
Vérification des contenus (fact-checking) / lutte contre la désinformation et les fake news :
Dans des contextes politiques fragiles, notamment lors de périodes électorales ou de crises, Tunisiens, Marocains et Algériens éprouvent des difficultés à distinguer l’information de la désinformation. Des commentaires sont souvent partagés sans contexte, et les articles et rapports ont tendance à interpréter les faits de manière imprécise, en négligeant souvent des nuances importantes.
Couverture d’élections :
À l’approche d’élections, les médias ont besoin d’outils pour assurer une couverture de qualité.
Datajournalisme :
Créer des outils et des technologies conçus pour aider les médias à analyser, traiter ou visualiser des données.
Viabilité des médias :
Des outils innovants pour assurer la viabilité économique et financière de projets médias.
Dialogue avec les pouvoirs publics :
Développer des outils contribuant à une plus grande transparence de l’action publique et favorisant le dialogue entre les citoyens et les décideurs politiques et économiques.
Information en période de crise :
Outils contribuant à la diffusion d’informations d’utilité publique et à la mise en œuvre de solutions pour que le grand public puisse faire face efficacement aux crises qu’elles soient sanitaires, environnementales, économiques ou politiques.
Exploitation des nouvelles technologies :
Les progrès récents dans le domaine de l’intelligence artificielle offrent un potentiel énorme pour les rédactions. Le défi consiste à exploiter judicieusement l’IA (et de nombreuses autres technologies) pour soutenir un journalisme de qualité. Nous sommes impatients de découvrir vos idées novatrices sur la manière d’y parvenir !
Qu’est-ce qui vous attend ?
Étape 1 : phase de candidature et de qualification
Candidatez jusqu’au 30 avril 2024 via le formulaire de candidature SMART MEDIA ACCELERATOR 2024. Les meilleures équipes reçoivent une notification leur indiquant qu’elles ont accès à la plateforme d’e-learning SMAx.
Étape 2 : programme de pré-incubation
Jusqu’au mois de juillet, les équipes ont la possibilité de suivre des cours en ligne sur la plateforme et de fournir les livrables nécessaires pour postuler au programme d’incubation. Après une phase d’évaluation et d’entretien, les équipes sélectionnées intègrent le programme d’incubation.
Étape 3 : programme d’incubation
Le programme d’incubation se déroulera de septembre à novembre 2024. Durant cette période, les équipes développeront leurs solutions en plusieurs étapes et pourront faire appel à des experts à la demande.
MEDIA LOVES TECH, c’est à la fois :
- de la flexibilité avec une alternance entre des formations en ligne et des masterclasses ;
- des experts à la demande ;
- du networking et des opportunités, même après le programme ;
- une communauté d’entrepreneur.se.s et d’expert.e.s.
Le meilleur projet recevra un financement de 10 000 € qui sera remis à l’équipe gagnante lors de la cérémonie de clôture, le 5 décembre 2024.
Règlement
Le règlement complet de l’édition 2024 de MEDIA LOVES TECH est à consulter ici.
Vous pouvez également consulter la Foire Aux Questions (F.A.Q.). Si vous avez encore des questions à ce stade, n’hésitez pas à nous contacter.
MEDIA LOVES TECH est une initiative de DW Akademie en coopération avec l’ONG tunisienne Al Khatt. Ce programme est financé par l’Union européenne et le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ).